
Les Terres de Nataé
Je vois les zoos et les parcs animaliers comme des bocaux où l’on y enferme des animaux pour le plaisir récréatif des êtres humains. Peut-être aussi que leurs similitudes avec nos villes me dérangent-elles.

Mais cet été 2025, j’étais en vacances en Bretagne avec ma fille. Notre résidence- locative- se trouvait à Quéven près des Terres de Nataé. Quelques minutes en voiture.
Je savais que cette visite plairait à ma fille. Elle me l’avait demandé. J’avais refusé. Après nos visites guidées à Lorient, du Centre Eric Tabarly, des Bunkers et du sous-marin Le Flore, je visais l’Océanopolis de Brest. Finalement trop « loin », trop tard. Il aurait fallu y aller dès le début de nos vacances.

Difficile de repartir de Quéven sans joindre les Terres de Nataé à proximité. Puisque les quelques avis récoltés étaient (très) favorables. Ce parc animalier était censé :
Recueillir des animaux maltraités ou dont les cirques ne veulent plus.
Protéger les animaux.
Eduquer les visiteurs.

Nous sommes donc partis pour les Terres de Nataé. A notre arrivée vers midi, le parking pourtant étendu était plein. Nous avons trouvé où garer la voiture un peu plus loin.

Une fois dans le parc, j’ai suivi ma fille. Parfois au-delà de mes bornes physiques. Six bonnes heures à pied dans les Terres de Nataé tant elle s’en tenait à son programme. Je ne m’attendais pas à un tel traitement de sa part. J’ai néanmoins pris des photos. Quelques mois sont passés depuis.











Franck Unimon, ce vendredi 12 décembre 2025.