Catégories
Micro Actif

Projet d’annonces II pour Tinder et ce genre de sites ou Prince Charmant

 

 

Projet d’annonces II pour Tinder et ce genre de sites ou Prince Charmant

 

Vous avez Ă©tĂ© nombreuses et nombreux Ă  rĂ©agir Ă  mon prĂ©cĂ©dent article intitulĂ© Projet d’annonces pour Tinder et ce genre de sites . Et, cela, ne serait-ce que dans ma tĂȘte ! Je me serais presque cru dans un stade de Foot ou dans une salle de concert remplie de la taille de l’Arena DĂ©fense. J’attends donc que tout le monde se calme, se taise, se mette en rang et se tienne par la main. Car j’ai une annonce Ă  vous faire. Maintenant que je me sens une soudaine trĂšs haute responsabilitĂ©….

 

 

 

Franck Unimon, mercredi 16 juin 2021. 

Catégories
Micro Actif

Projet d’annonces pour Tinder et ce genre de sites

 

            Projet d’annonce pour Tinder et ce genre de sites ou Prince Charmant

Comme j’ai un peu de temps devant moi, je me suis dit que j’allais m’essayer à un projet initiatique d’annonce pour Tinder et ce genre de sites d’annonces.

 

Ce n’était pas prĂ©vu.  J’ai eu quelques idĂ©es qui me sont arrivĂ©es alors que j’étendais le linge, chez moi, en faisant bien attention aux plis. ça (les idĂ©es) m’a fait rire. Je me suis dit qu’ensuite, j’allais l’enregistrer. En plus, comme ça, cela me permettra d’accĂ©lĂ©rer mon dĂ©bit de voix, de parler plus fort. Et de m’animer. Ça changera. Je suis tellement mort, d’habitude. Presqu’un fantĂŽme….

 

 

Franck Unimon, ce mardi 15 juin 2021. 

Catégories
Micro Actif

Quarts de soi

 

Catégories
Apnée Micro Actif

Apnée volontaire

 

 

 

Catégories
Micro Actif Voyage

Un article simple

 

                                                                 Un article simple. 

 

 

 

On peut aussi complĂ©ter la dĂ©couverte de cet article avec Dans la galerie de Michel ainsi qu’avec GĂ©missements

 

Franck Unimon, ce lundi 10 aout 2020. 

Catégories
Micro Actif

On lui a dit.

On lui a dit.

 

 

Franck Unimon, lundi 10 aout 2020. 

A ma fille, ainsi que pour deux collĂšgues, la premiĂšre, Ă©ducatrice spĂ©cialisĂ©e et l’autre, puĂ©ricultrice. 

 

 

Catégories
Cinéma Corona Circus Ecologie Micro Actif Puissants Fonds/ Livres self-défense/ Arts Martiaux

GĂ©missements

 GĂ©missements.

C’est notre souffle qui nous tient. C’est Ă  dire : trois fois rien. Dans nos pensĂ©es et nos souvenirs se trouvent tant de trajectoires. De ce fait, on ne s’étonnera pas si je fais quelques excursions en des temps et des Ă©vĂ©nements diffĂ©rents et si je me retrouve ensuite Ă  nouveau dans le prĂ©sent.

 

Aujourd’hui, ce mercredi 5 aout 2020 oĂč il a fait entre 29 et 30 degrĂ©s Ă  Paris, je devrais ĂȘtre au cinĂ©ma. J’ai l’impression de le trahir. Il y a tant de films Ă  voir mĂȘme si le nombre de films a Ă©tĂ© restreint. Les salles de cinĂ©ma, pour celles qui ont pu rouvrir depuis le 22 juin,  peinent Ă  s’en sortir Ă©conomiquement.

 

EnrĂŽlĂ©es dans la bobine du cycle Covid-19, les salles de cinĂ©ma ont peu de spectateurs. Je m’en suis aperçu directement le 14 juillet en allant voir Tout simplement noir de Jean-Pascal Zadi. Le film m’a beaucoup plu. J’en parle dans un article qui porte le nom du film sur mon blog: Tout simplement Noir.

 

Mais nous Ă©tions Ă  peine dix spectateurs dans la grande salle de ce multiplexe parisien que je connais depuis plus de vingt ans. C’est vrai que j’y suis allĂ© Ă  la premiĂšre sĂ©ance, celle de 9h et quelques, mais je ne crois pas que l’heure matinale ait jouĂ© tant que ça sur le nombre que nous Ă©tions dans la salle :

 

 Le confinement de plusieurs semaines dĂ» Ă  la pandĂ©mie du Covid-19 et l’arrivĂ©e de l’étĂ© au moins ont eu un effet sĂ©cateur sur le nombre des entrĂ©es. En plus, cela fait plusieurs mois qu’il fait beau. Je crois que les gens ont besoin de se rattraper. Ils ont aussi peut-ĂȘtre peur que le couteau d’un autre confinement ne se dĂ©ploie Ă  nouveau sous leur  gorge.  

 

 

Mais on va un petit peu oublier le Devoir ce matin. Ou on va le dĂ©fendre autrement.  On va se faire notre cinĂ©ma Ă  domicile.

 

 

Les photos qui dĂ©filent dans le diaporama sont un assemblage Ă  la fois de quelques photos de vacances, d’ouvrages que je lis, ai essayĂ© de lire ou voudrais lire, du Cd dont la musique m’a inspirĂ©….

 

Et je vais essayer de vous parler d’à peu prùs tout ça à ma façon.

 

 

On va vers l’autre pour essayer de combler ou de soulager un vide. Mais nous ne partons pas du mĂȘme vide. Nous ne portons pas le mĂȘme vide. Et nous ne parlons peut-ĂȘtre mĂȘme pas du mĂȘme vide. Beaucoup de conditions sont donc assez souvent rĂ©unies pour que, dans la vie, nous fassions
.un bide. Et, pourtant, nous connaissons des rĂ©ussites et des possibilitĂ©s de rĂ©ussite. Mais encore faut-il savoir s’en souvenir et s’en apercevoir.

 

 

Je ne connaissais pas du tout Magali Berdah dont j’ai commencĂ© Ă  lire la biographie, Ma Vie en RĂ©alitĂ©. J’en suis Ă  la moitiĂ©. Et j’ai trĂšs vite dĂ©cidĂ© de lire son livre plutĂŽt que celui de Julia De FunĂšs intitulĂ© DĂ©veloppement ( Im) Personnel.  Qu’est-ce que je reproche au livre de Julia De FunĂšs dont j’ai commencĂ© Ă  lire l’ouvrage ?

 

Le fait, d’abord, que l’on sente la « bonne Ă©lĂšve Â» qui a eu des trĂšs bonnes notes lors de ses Ă©tudes supĂ©rieures et qui a, donc, une trĂšs haute opinion d’elle-mĂȘme. Je suis bien-sĂ»r pour avoir des bonnes notes et pour faire des Ă©tudes supĂ©rieures autant que possible. Je suis aussi  favorable  au fait d’avoir de l’estime de soi.  Parce qu’il peut ĂȘtre trĂšs handicapant pour soi-mĂȘme comme pour notre entourage de passer notre vie Ă  avoir peur de tout comme Ă  toujours dĂ©cider que l’on ne sait jamais rien et que l’on ne sait absolument rien faire en toute circonstance.

 

 Mais je ne crois pas Ă  la certitude absolue. Y compris la certitude scolaire.

 

Julia De FunĂšs veut « philosophiquement Â» « dĂ©construire Â» les arnaques des « coaches Â» et des vendeurs de « recettes du bonheur Â» qui font florĂšs. C’est trĂšs bien. Et j’espĂšre bien profiter de ce qu’elle a compris de ces arnaques. Mais elle abat ses certitudes en se servant de sa carte routiĂšre de la philosophie dont elle connaĂźt des itinĂ©raires et des soubresauts par cƓur.  

 

Elle, elle Sait. Et elle va nous dĂ©montrer comme elle Sait  quitte Ă  ce que, pour cela, en la lisant, on ait mal Ă  la tĂȘte en essayant de suivre sa propre pensĂ©e inspirĂ©e de celles de trĂšs grands philosophes qu’elle a dĂ©chiffrĂ©s et qui ont rĂ©solu depuis l’antiquitĂ© le mal dont on essaie de se guĂ©rir aujourd’hui en tombant dans les bras et sur les ouvrages des  commerçants du dĂ©veloppement personnel qu’elle veut confondre.

 

RĂ©sultat immĂ©diat : pour accĂ©der Ă  sa connaissance et profiter de ses lumiĂšres, on comprend dĂšs les premiĂšres pages de son livre qu’il faut avoir la philo dans la peau. On lit son livre comme on pourrait lire un livre de Droit. J’aime la philo. Et j’aime prendre le temps de rĂ©flĂ©chir.

 

 J’aime moins avoir l’impression, lorsque je lis un livre,  de devoir apprendre des lois. En plus, et c’est sĂ»rement un de mes torts, dĂšs les premiĂšres pages, Julia de FunĂšs cite Luc Ferry comme une de ses rĂ©fĂ©rences.  D’abord, je n’ai pas compris tout de suite. J’ai confondu Luc Ferry avec le Jules Ferry de l’école publique. Oui, j’ai fait ça. Ce genre de confusion. Et puis, comme Julia de FunĂšs cite plusieurs fois Luc Ferry en moins de dix pages, j’ai  fini par comprendre.

 

J’ai sĂ»rement de trĂšs trĂšs gros prĂ©jugĂ©s envers Luc Ferry, ancien Ministre de l’Education. Mais, de lui, j’ai surtout retenu qu’il avait une trĂšs belle femme et qu’il savait se faire payer trĂšs cher pour des confĂ©rences sur la philo. Et quand je pense Ă  lui, je « vois Â» surtout quelqu’un de trĂšs suffisant. Je n’ai pas beaucoup aimĂ© ce qu’il a pu dire, dans le journal Les Echos,  ou peut-ĂȘtre plus dans Le Figaro. A savoir, que, selon lui, aprĂšs le confinement, le business reprendrait «  as usual Â» et que, en quelque sorte, les Nicolas Hulot et toutes celles et tous ceux qui pensent comme lui, peuvent aller se rhabiller avec leurs histoires de « Il faut changer le monde et essayer de tirer des enseignements de ce que la pandĂ©mie du Covid a pu nous obliger Ă  comprendre du monde et de la vie Â».

 

On a le droit de critiquer Nicolas Hulot et celles et ceux qui lui ressemblent. On peut critiquer plein de choses sur la maniĂšre dont la pandĂ©mie a Ă©tĂ© gĂ©rĂ©e et dont elle continue d’ĂȘtre gĂ©rĂ©e. Mais dire que ce sera « business as usual Â» revient Ă  dire que notre monde marche bien tel qu’il est Ă©conomiquement, politiquement, industriellement et socialement ; qu’il est rĂ©glĂ© comme une horloge suisse et que rien ne peut ou ne doit modifier cet ordre et cet Ă©tat du monde dans lequel un Luc Ferry, « philosophe Â» de formation a ses entrĂ©es et ses privilĂšges. MĂȘme si Luc Ferry a sans aucun doute des connaissances et des raisonnements plus qu’honorables, il est vrai que, pour moi, pour l’instant, l’homme qu’il incarne est pour moi un repoussoir. Et voir que, dĂšs le dĂ©but de son livre que j’ai eu pour l’instant un plaisir limitĂ© Ă  lire, Julia de FunĂšs le place sur un piĂ©destal, m’a poussĂ© Ă  fermer son livre et Ă  passer Ă  la biographie de Magali Berdah.

 

Oui, Magali Berdah.

 

Car, la biographie de Magali Berdah, c’est le contraire. Je ne connaissais pas Magali Berdah auparavant. Et en tombant sur son livre Ă  la mĂ©diathĂšque, il y a quelques jours, je me suis dit que je pourrais apprendre quelque chose. De mon Ă©poque. Pour moi. Pour mon blog. Afin de  mieux le promouvoir mais aussi, peut-ĂȘtre, l’orienter diffĂ©remment. Sans pour autant aller dans la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© ou biberonner du Cyril Hanouna que Magali Berdah cite comme un de ses premiers soutiens avant de devenir «  la manageuse Â» des influenceurs et des influenceuses. Avec Julia de FunĂšs, finalement, on est dans une pensĂ©e trĂšs puritaine. PensĂ©e que je partage aussi. Car je ne me fais pas tant que ça une si haute opinion de moi-mĂȘme :

 

Je peux, aussi, ĂȘtre trĂšs trĂšs puritain Ă  ma maniĂšre. Si ! Si !

 

Sauf que avoir un certain sens et une certaine idĂ©e de la moralitĂ© ne suffit pas pour ĂȘtre heureux et pour ce que l’on appelle « rĂ©ussir sa vie Â». Car notre vie se rĂ©sume quand mĂȘme souvent Ă  ces deux questions :

 

Sommes-nous heureux ? Et faisons vraiment nous tout ce que nous pouvons, dans la mesure de nos moyens, pour ĂȘtre heureux ?

Parce-que pour moi, rĂ©ussir sa vie, c’est ça : ĂȘtre heureux autant que possible, le plus longtemps possible et savoir le redevenir si on est malheureux, triste ou dĂ©primĂ©.

 

Et si je veux bien croire que Julia de FunĂšs peut m’aider, aussi, Ă  rĂ©pondre Ă  ces deux questions au moins dans son livre, je crois que Magali Berdah peut Ă©galement y contribuer. Car je ne vois pas pourquoi citer Luc Ferry pourrait suffire Ă  me rendre heureux. 

 

Alors que la biographie de Magali Berdah, elle, est concrĂšte. On peut trouver qu’elle nous raconte sa vie de façon Ă  passer pour une Cosette. On lui reprochera peut-ĂȘtre de trop Ă©taler sa vie privĂ©e, de se donner le beau rĂŽle (celui de la victime, de la personne  moralement intĂšgre ou protectrice) et de s’en servir pour son sens de la Communication et des affaires. Elle est peut-ĂȘtre ou sans doute moins « jolie Â» moralement que ce qu’elle nous donne Ă  entrevoir dans son livre mais elle nous parle aussi d’un monde que l’on connaĂźt :

 

Celui oĂč des personnes vulnĂ©rables (mineures comme adultes), ignorantes, bosseuses et de bonne volontĂ©, peuvent se faire
.arnaquer, kidnapper, trahir etc
..

 

Et Magali Berdah nous raconte aussi comment elle s’en « sort Â». ConcrĂštement. Ainsi que certains de ses fiascos et de ses coups durs. Par des exemples rĂ©pĂ©tĂ©s. Ce qui parle souvent beaucoup mieux qu’en citant des philosophes ou des Anciens Ministres, fussent-ils trĂšs cultivĂ©s et dans le « Vrai Â» lorsqu’ils ( nous) parlent. A moins que ces Anciens Ministres et philosophes ne se parlent, d’abord, Ă  eux-mĂȘmes.

 

Oui, Magali Berdah est beaucoup dans l’affectif. Elle le dit et le fait comprendre avec sa « garde rapprochĂ©e Â» parmi ses collaborateurs. Et elle est Ă  l’aise avec l’argent et le fait d’en gagner beaucoup. Il n’est pas donnĂ© Ă  tout le monde, comme elle, de s’épancher facilement auprĂšs d’autrui. Moi, par exemple, dans la vraie vie, je me confie oralement assez peu. C’est une histoire de pudeur et de mĂ©fiance. Quant Ă  l’argent, en gagner beaucoup n’a pas Ă©tĂ© ma prioritĂ© lorsque j’ai commencĂ© Ă  travailler. Je ferais plutĂŽt partie des personnes qui auraient du mal Ă  mieux mettre en valeur mes articles par exemple.

 

 

 Vis Ă  vis de la « cĂ©lĂ©britĂ© Â», je suis ambivalent :

 

J’aime me mettre en scĂšne et faire le spectacle. Vraiment. Mais j’aime aussi pouvoir ĂȘtre tranquille, pouvoir me retirer et me faire oublier. Soit deux attitudes trĂšs difficilement conciliables qui expliquent par exemple au moins, en partie, la raison pour laquelle mon blog a sĂ»rement (beaucoup) moins de vues qu’il ne pourrait en avoir. Mais aussi la raison pour laquelle, Ă  ce jour, mon activitĂ© de comĂ©dien est plutĂŽt une activitĂ© sous-marine (c’est peut-ĂȘtre aussi pour cela que je pratique l’apnĂ©e) ou sous-cutanĂ©e voire intramusculaire.

 

C’est sĂ»rement aussi pour cela que, certaines fois, je me retrouve Ă  nouveau au moins tĂ©moin de certaines situations qui, dans mon mĂ©tier d’infirmier, restent la norme.

 

Parce-que lorsque l’on est infirmier, on aime assez peu se mettre en scĂšne et prendre toute la lumiĂšre. On est plus dans le don de soi que dans la revendication pour soi. Et ça amĂšne ce rĂ©sultat et cette vĂ©ritĂ© automatiquement renouvelĂ©e :

 

D’autres profitent de cette lumiùre et de cet argent.

 

Dans son livre, Magali Berdah explique qu’elle dĂ©couvre l’univers de la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© et des rĂ©seaux sociaux en rencontrant Jazz, une ancienne candidate de tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©,  amie d’une de ses anciennes salariĂ©es, Martine, Ă  qui elle rend un service.

 

A cette Ă©poque, Magali Berdah, mariĂ©e, trois enfants, est surendettĂ©e, et a surtout une expĂ©rience consistante en tant que commerciale et auto-entrepreneuse dans les assurances et les mutuelles. A premiĂšre vue, grossiĂšrement, on dira que cela n’a rien Ă  voir. Sauf que Magali Berdah, est fonceuse, bosseuse, curieuse. Elle a sans doute aussi envie de garantir Ă  ces jeunes vedettes cette protection et cette sĂ©curitĂ© dont elle a manquĂ© enfant.  

 

Magali Berdah offre donc Ă  ces jeunes vedettes son sens des affaires et du commerce ; une certaine indĂ©pendance. Ainsi qu’une prĂ©sence affective permanente qui contraste avec ce monde des marques, des reflets et des images qu’incarnent et vendent ces jeunes vedettes qu’elle protĂšge.

 

Quelques temps plus tĂŽt, alors qu’elle Ă©tait dĂ©primĂ©e du fait de ses problĂšmes professionnels, financiers et personnels rĂ©pĂ©titifs, elle s’était confiĂ©e Ă  une amie. Laquelle lui avait conseillĂ© de consulter un Rav (l’équivalent d’un rabbin) de sa connaissance. Magali Berdah, juive non pratiquante, avait acceptĂ© de le rencontrer. AprĂšs s’ĂȘtre racontĂ©e,  ce Rav, le Rav Eli, lui avait affirmĂ© qu’un de ses ancĂȘtres, du cĂŽtĂ© de son grand-pĂšre maternel, Ă©tait lui-mĂȘme un Rabbin trĂšs « rĂ©putĂ© Â» considĂ©rĂ© comme un Tsadik.

 

Dans le vocabulaire hassidique, le Tsadik est un « homme juste Â». Un Maitre spirituel. L’équivalent d’un Saint. Mais ce Saint n’est pas protĂ©gĂ© par Dieu de son vivant. Par contre, ce Tsadik protĂšgera un « descendant Â» et lui « offrira une vie extraordinaire : qui sort de l’ordinaire Â».

Et le Rav Eli d’apprendre Ă  Magali qu’elle Ă©tait cette personne protĂ©gĂ©e par le Tsadik.

 

Ces propos du Rav Ă©taient-ils sincĂšres ? RelĂšvent-ils de la gonflette morale ou du placebo ? Sont-ils l’équivalent de ces « trucs Â» vendus et proposĂ©s par les coaches « bien-ĂȘtre Â» que Julia De FunĂšs veut «dĂ©construire Â» ?

 

Je prĂ©cise d’abord que je ne suis pas juif. OĂč alors je l’ignore. Mais j’aime beaucoup l’histoire de cette rencontre dans laquelle je vois du conte et de l’universel. Un conte pour adultes. Un conte qu’on aurait pu Ă©videmment transposer autrement en parlant d’une rencontre avec un marabout, un psychologue, un Imam ou toute autre rencontre Ă©tonnante ou mystĂ©rieuse pourvu que ce soit une rencontre hors-norme, hors de nos habitudes et inattendue dans une pĂ©riode de notre vie oĂč l’on a besoin de changement mais oĂč on ne sait pas comment s’y prendre pour donner une autre direction Ă  notre vie.

 

 

Dans cette histoire du Tsadik qui est l’équivalent du Saint, je pense bien-sĂ»r Ă  la vallĂ©e des Saints qu’un ami m’a conseillĂ© d’aller dĂ©couvrir lors de notre sĂ©jour rĂ©cent en Bretagne. On trouvera facilement mon diaporama de la vallĂ©e des Saints sur mon blog. La VallĂ©e des Saints

 

Pour l’instant, je ne vois pas quelles retombĂ©es concrĂštes sur ma vie a pu avoir le fait d’avoir pris la dĂ©cision de me rendre avec ma compagne et ma fille Ă  la vallĂ©e des Saints. Et ma remarque fera sans doute sourire ou ne manquera pas de me faire envisager comme un candidat idĂ©al pour le programme subliminal de n’importe quel gourou foireux et vĂ©nal.

 

Alors, il reste le Tsadik, Ă©quivalent du Saint, qui, je crois, lui, sera plus difficile Ă  contredire et Ă  dĂ©loger, que l’on se moque de moi ou pas :

 

Religion juive ou pas, le soignant, infirmier ou autre, est souvent assimilĂ© au Saint ou Ă  la bonne sƓur. Lorsque l’on regarde les conditions de travail et les conditions salariales d’un infirmier et qu’on les compare Ă  ce que celui-ci donne de sa personne au cours d’une carriĂšre, on « sait Â» que le compte n’y est pas du tout. Et que les infirmiers, comme d’autres corps soignants, sont sous-payĂ©s et sous estimĂ©s comparativement Ă  ce qu’ils donnent. Mais aussi comparativement Ă  ce qu’ils endurent. J’ai dĂ©jĂ  entendu dire que, souvent, dans les ancĂȘtres des soignants, il y a eu un malade, une grande souffrance. Mais on peut aussi penser, Ă  travers l’exemple du Tsadik, qu’un soignant (infirmier ou autre) est un Tsadik et que, lui aussi, donnera sa protection Ă  un de ses descendants un jour ou l’autre.

 

Cette histoire-lĂ  me plait beaucoup et elle m’est inspirĂ©e en lisant la biographie de Magali Berdah. Pas en lisant l’ouvrage de Julia de FunĂšs. J’ai presque envie d’ajouter :

 

« Alors que cela aurait dĂ» ĂȘtre le contraire. A quoi sert-t’il d’avoir autant de connaissances- comme Julia de FunĂšs- si c’est pour plomber l’atmosphĂšre et le moral des gens alors que ceux-ci essaient de trouver des astuces pour s’allĂ©ger, respirer un petit peu mieux et s’octroyer un peu de rĂ©pit avant de devoir reprendre leur labeur ? Â».

 

RĂ©cemment, dimanche aprĂšs-midi, j’ai effectuĂ© un remplacement dans un service. La collĂšgue infirmiĂšre du matin, ai-je appris plus tard, se lĂšve Ă  3 heures du matin lorsqu’elle commence sa journĂ©e de travail Ă  6h45.

 

C’est sans doute rare qu’une infirmiĂšre se lĂšve aussi tĂŽt lorsqu’elle commence Ă  6h45 pour ĂȘtre Ă  l’heure au travail. Mais je l’aurais vu au moins une fois dans ma vie.

 

Ce qui est moins rare, c’est d’avoir appris que cette infirmiĂšre avait pu se faire « dĂ©foncer Â» en plein staff un matin parce-que le travail n’avait pas Ă©tĂ© fait en temps et en heure. Pour quelle raison ?

Peut-ĂȘtre parce qu’elle Ă©tait nouvelle dans le service. Et encore en CDD. Mais, aussi, parce-que le service manque de personnel infirmier. Quatre infirmiers en poste dans le service alors qu’il en manque sept autres. Il y a sept postes d’infirmier vacants dans ce service. Le service tourne donc rĂ©guliĂšrement avec des remplaçants.

 

Ce qui est aussi moins rare, c’est qu’en se faisant « dĂ©foncer Â» en plein staff, cette infirmiĂšre ait subi sans broncher. C’est une Ă©tudiante infirmiĂšre prĂ©sente lors des faits qui, ensuite, en a parlĂ© au collĂšgue infirmier qui m’a racontĂ© ça le dimanche aprĂšs-midi.

 

Ce qui est Ă©galement moins rare c’est d’avoir demandĂ© ce dimanche (j’étais alors prĂ©sent) Ă  cette mĂȘme infirmiĂšre de revenir travailler le lendemain matin sur son jour de repos. Parce qu’il manquait du personnel infirmier le lundi matin.  

 

 Pourquoi je parle de ça ? Le Covid a fait des soignants, officiellement, «  des hĂ©ros Â». Mais des personnes se font « dĂ©foncer Â» cette fois-ci physiquement, sur la place publique lorsqu’ils rappellent Ă  d’autres citoyens de porter- correctement- le masque de prĂ©vention anti-covid. Ou simplement d’un porter un.

 

Pendant ce temps, dans leur service, des soignants continuent de se faire « dĂ©foncer Â» en plein staff comme cette collĂšgue infirmiĂšre. On peut donc dĂ©foncer en plein staff une hĂ©roĂŻne. Et c’est normal.

 

Alors, qu’est-ce qu’il reste aux soignants hĂ©roĂŻques alors qu’ils continuent de se faire dĂ©foncer par leur hiĂ©rarchie ? Il leur reste la dĂ©pression ou le burn-out. Il leur reste les accidents de travail. Il leur reste les congĂ©s longue maladie. Il leur reste la dĂ©mission. Il leur reste la colĂšre ou la contestation. Il leur reste le Tsadik ou son Ă©quivalent. Et c’est en lisant la biographie de Magali Berdah, que je n’ai pas terminĂ©e, que je le comprends. Pas en lisant le livre sĂ»rement trĂšs cultivĂ© de Julia de FunĂšs.

 

Ce matin, ça a fait marrer une de mes jeunes collÚgues infirmiÚres lorsque je leur ai parlé de Magali Berdah. Elle était sans doute gentiment amusée par une de mes nouvelles bizarreries. Pourtant, je ne fais que prolonger à ma façon ce en quoi je crois depuis des années.

 

Miles Davis disait « My mind is not shut Â» : Mon esprit n’est pas fermĂ©. Dans la revue Yashima dont j’ai beaucoup aimĂ© les articles cette fois-ci, il y a entre autres une interview de Kacem Zoughari.

 

Kacem Zoughari est «  docteur en Histoire et Culture du Japon et adepte de Ninjutsu du plus haut niveau Â». J’ai dĂ©couvert l’existence de Kacem Zoughari il y a Ă  peine dix jours par ce magazine Yashima achetĂ© durant mes vacances.

 

Quel rapport entre la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©, le monde du fric et du commerce de Magali Berdah et l’ascĂšse martiale Ă  laquelle se tient Kacem Zoughari que je devrais appeler au moins Sensei ou Maitre au vu de ses titres ?  A priori, Ă  la tĂ©lĂ©, ce n’est pas la mĂȘme chaine. Il n’y a aucun rapport si on oppose ces deux personnes et ces deux expĂ©riences selon leur image et leur parcours. Et puis, dans l’interview, Kacem Zoughari dit par exemple :

 

« Quand j’arrive lĂ -bas (au Japon), je pense ĂȘtre bon. J’ai reprĂ©sentĂ© la discipline Ă  Bercy et Ă  la tĂ©lĂ© et je suis ceinture noire. Mais au premier cours chez Ishizuka sensei, on me reprend. On me reprend gentiment, mais j’ai l’impression d’ĂȘtre giflĂ© ! Â».

 

On peut donc ĂȘtre « trĂšs bon Â», bosseur et expĂ©rimentĂ© comme le pense alors Kacem Zoughari et, comme Magali Berdah, dans son domaine professionnel échouer.

 

Or, que l’on Ă©volue dans le commerce ou dans le domaine des arts martiaux ou ailleurs, ce qui va importer, c’est notre rĂ©action par rapport Ă  « l’échec Â». Ce que l’on va ĂȘtre capable d’apprendre et d’accepter de cet Ă©chec.

 

Plus tard, Kacem Zoughari dit :

 

«  (
.) Hatsumi sensei dit parfois : « Tu veux ĂȘtre bon, shuraba ni ike Â». Va oĂč a lieu le carnage Â».

 

On peut penser au « carnage Â» de la guerre. Mais on peut aussi penser au « carnage Â» de la souffrance et de la violence auquel le soignant oĂč le travailleur social est rĂ©guliĂšrement exposĂ©. Et Magali Berdah parle aussi de certaines pĂ©riodes de «  sa vie chaotique Â».

 

Et j’ai particuliĂšrement aimĂ© lorsque Kacem Zoughari dit :

 

« Certains Ă©lĂšves copient le maitre jusque dans ses dĂ©formations de dos, de genou, etc. Au-delĂ  de l’aspect caricatural, c’est mĂȘme dĂ©lĂ©tĂšre pour leur santĂ© ! Ce type de pratiquants intĂ©gristes refuse souvent aussi de voir ce qui se fait ailleurs pour ne pas corrompre l’image qu’ils ont de leur maĂźtre. C’est une grave erreur Â».

 

Bien entendu, je n’attends pas que Kacem Zoughari verse dans l’univers de la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© et dans le monde de Cyril Hanouna. Mais on a compris que selon mes aptitudes et mon Ă©tat d’esprit, je peux trouver des parties de mes besoins et de mes rĂ©ponses tant dans ce qu’enseigne Kacem Zoughari que dans ce que raconte Magali Berdah.

D’autant que Kacem Zoughari confirme aussi :

 

« (
..) car beaucoup d’obstacles se dressent sur la voie d’un adepte. Il y a d’abord les dĂ©sillusions. Le monde martial, comme tout microcosme, comporte de nombreuses personnes Ă  la moralitĂ© douteuse. Il faut alors avoir foi dans les bĂ©nĂ©fices de la pratique pour trouver le recul de se dire que les actes d’un individu ne dĂ©finissent pas la valeur d’une discipline Â».

 

 

Il y aurait bien-sĂ»r davantage Ă  dire de l’interview de Kacem Zoughari et je le ferai peut-ĂȘtre un autre jour.

 

Mais l’article va bientĂŽt se terminer et je veux d’abord rĂ©pondre Ă  des questions que je crois possibles devant certaines des photos :

 

La voix du Raid Ă©crit par Tatiana Brillant (avec la collaboration de Christine Desmoulins), ancienne nĂ©gociatrice du RAID, parce-que je crois que son expĂ©rience peut aussi m’apprendre quelque chose dans mon mĂ©tier comme dans ma vie. Tatiana Brillant, dont, d’ailleurs, le pĂšre est pompier. Et la mĂšre
.infirmiĂšre. Tatiana Brillant qui dit, page 24 :

 

«  (
.) Ayant cette fois accĂšs Ă  mon dossier, j’ai appris que lors des prĂ©cĂ©dents tests j’avais Ă©tĂ© reçue premiĂšre avec l’observation suivante :

 

 Â«  PremiĂšre candidate. Impressionnante malgrĂ© son jeune Ăąge. Bonnes rĂ©actions, empathie naturelle Â».

C’est ainsi que je suis entrĂ©e au RAID le 1er mars 2004. A BiĂšvres, dans l’Essonne, mon rĂȘve se rĂ©alisait ! Tout cela validait Ă  jamais le mantra qui rythme ma vie :

 

« Il ne faut rien s’interdire Â».

 

« L’empathie Â» est une aptitude qui peut ĂȘtre dĂ©valuĂ©e dans un monde oĂč l’image, le statut social, la cĂ©lĂ©britĂ©, la rapiditĂ©, la rentabilitĂ© et le fric remportent souvent le gros lot.

 

Le personnel infirmier sait ce qu’est l’empathie mĂȘme s’il se fait rĂ©guliĂšrement enfler. Parce qu’il est plus dans le sacrifice et le don de soi que dans l’empathie me dira-t’on. Peut-ĂȘtre. Mais on voit Ă  travers Tatiana brillant, Magali Berdah mais aussi Kacem Zoughari, qui l’évoque d’une certaine façon dans un passage de son interview, que « l’empathie Â» est compatible avec la rĂ©ussite professionnelle et personnelle.

 

 

Tout bouge autour de moi de Dany Laferriere, membre de l’AcadĂ©mie française. Pour le titre. Pour la littĂ©rature. Parce-que je n’ai encore rien lu de lui. Parce qu’il parle d’HaĂŻti, oĂč il se trouvait, lors du tremblement de terre du 12 janvier 2010 :

 

  «  Des choses vues Â» qui disent l’horreur, mais aussi le sang-froid des HaĂŻtiens. Que reste-il quand tout tombe ? La culture. Et l’énergie d’une forĂȘt de gens remarquables Â».

 

 

Parce qu’HaĂŻti est une Ăźle oĂč j’aurais aimĂ© ĂȘtre allĂ© depuis des annĂ©es. Mais son rĂ©gime politique et sa pauvretĂ© m’ont jusque lĂ  trop inquiĂ©tĂ©. Je suis « entrĂ© Â» un peu Ă  HaĂŻti d’abord par le cinĂ©ma de Raoul Peck dans les annĂ©es 90 par son film, L’Homme sur les quais. J’ai vu d’autres films de lui. Et mĂȘme des sĂ©ries. Je l’ai aussi rencontrĂ© et interviewĂ© deux fois. Une fois lors du festival de Cannes au dĂ©but des annĂ©es 2010. Une autre fois, Ă  Paris.

 

Il y a quelques photos de nos vacances en Bretagne. A la vallĂ©e des Saints ( avec les statues en granit) et aussi Ă  Quiberon, du cĂŽtĂ© du port-Haliguen, oĂč nous sommes passĂ©s avant que le port du masque ne devienne obligatoire dans la rue.

 

Le titre que j’ai choisi sur l’album Nordub  rĂ©alisĂ© par Sly & Robbie et Nils Petter Molvaer feat Eivind Aarset and Vladislav Delay s’appelle :

 

European Express.

 

C’est le septiĂšme titre de l’album. AprĂšs avoir lu des critiques dithyrambiques sur cet album, je me suis dĂ©cidĂ© Ă  l’acheter. J’avais dĂ©jĂ  Ă©coutĂ© deux anciens albums de Nils Petter Molvaer. J’apprĂ©hendais qu’il soit trop prĂ©sent avec ses traversĂ©es Ă©lectroniques et sa trompette qui louche vers Miles mais sans l’attrait de Miles sur moi.

 

Sly and Robbie, depuis leur trajectoire Reggae avec Black Uhuru, Gainsbourg et beaucoup d’autres dans les annĂ©es 70 et 80 ont depuis longtemps dĂ©bouchĂ© dans d’autres atmosphĂšres musicales. J’attendais beaucoup de cet album. J’attendais du Dub. J’ai d’abord Ă©tĂ© dĂ©confit. Puis, en le reprenant en revenant de vacances, il s’est Ă  nouveau vĂ©rifiĂ© que certains albums nous demandent du temps pour entrer dedans.

 

European Express,  de par sa dynamique, est le titre qui m’a semblĂ© le plus appropriĂ© pour cet article.

 

 

Cet article est sans doute plus long qu’il n’aurait dĂ», une fois de plus. Alors, j’espĂšre qu’il ne sera pas trop fastidieux Ă  lire et que les photos qui l’accompagnent vous iront aussi.

Ici, si on le souhaite, on pourra Ă©couter cet article dans sa version audio :

 

 

AprĂšs un concert, il arrivait que Miles engueule certains de ses musiciens aprĂšs qu’ils aient, selon lui, mal jouĂ©. Sans doute estimait-il qu’ils n’avaient pas pris assez de risques. Il leur disait :

 

 Â«  Jouez ce que vous savez jouer ! Â».

 

J’ai Ă©crit ce que je sais Ă©crire. C’est le souffle qui nous tient. C’est Ă  dire : trois fois rien.

 

 

Franck Unimon, ce mercredi 5 aout 2020.

 

 

 

 

 

 

 

Catégories
Corona Circus Micro Actif

Prédation.

 

Photo prise le 31 mars 2020 non loin du Panthéon. Photo©Franck.Unimon

 

C’est les vacances. Tout le monde a besoin de souffler aprĂšs cette pandĂ©mie qui nous a coupĂ© le souffle. Pour certains, c’est dĂ©ja depuis trĂšs longtemps du passĂ©. Pour d’autres, cela augure dĂ©ja de ce qui va arriver. Je suis entre deux eaux. Je crois que nous devons vraiment nous servir de nos deux cerveaux. Et que prĂ©voir ou chercher Ă  prĂ©voir l’Histoire, c’est Ă  dire notre avenir, ne doit pas empĂȘcher de vivre au prĂ©sent. Et donc, qu’il est aussi important de rester prudent que de savoir prendre des loisirs ou des vacances quand on le peut. Rester sur le qui-vive et au garde Ă  vous en permanence revient Ă  se jeter soi-mĂȘme sur le grill et Ă  se carboniser mentalement et physiquement- ainsi que son entourage- avant la vĂ©ritable Ă©preuve du feu. 

Je livre ce quatriĂšme diaporama maintenant parce-que cela aurait fait trop de photos si je les avais laissĂ©es dans le troisiĂšme ( Corona Circus, volume 3. Les photos.). Et je le livre aussi maintenant parce-qu’il couvre la pĂ©riode du 18 juin au 12 juillet 2020, que je tiens Ă  le publier avant le 14 juillet ( demain) et qu’aprĂšs lui, je compte bien aborder d’autres sujets.

Franck Unimon, lundi 13 juillet 2020. 

 

Catégories
Micro Actif

La mer repose au delĂ  de 100 pour cent

 

 

Marie m’a demandĂ© il y a bientĂŽt dix jours, ou peut-ĂȘtre plus, de lire un poĂšme ou un article. J’ai pris du temps pour le faire car je voulais ĂȘtre dans de bonnes conditions. 

 

Je prĂ©sente deux textes aujourd’hui : La mer repose et Au delĂ  de 100 %. J’espĂšre qu’ils vous plairont. J’ai eu une pensĂ©e particuliĂšre en Ă©crivant Au delĂ  de 100 % pour CĂ©cile ” Tu la plantes !”, Barbara ” Tu piges ?!”, Sylvie, Christelle ” Virgule Cats” et Eric car c’est en rigolant avec eux que ce texte a commencĂ©.

 Si vous le pouvez, faites-moi savoir quel texte vous prĂ©fĂ©rez.

 

 La mer repose

 

 

Au delĂ  de 100 %

 

 

F.Unimon, ce mercredi 10 juin 2020.

Catégories
Corona Circus Micro Actif

Il Ă©tait difficile

 

Franck Unimon, jeudi 7 Mai 2020.